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Dans les deux extraits qui suivent, un film indien mettant en scène à la manière du cinéma populaire des danses villageoises de différentes parties de l'Inde, on a une approche plus directe de la spécificité & de l'autenticité de certaines cultures qui n'ont pas rejeté le "Dyonisiaque" comme aimait à l'appeler Nietzsche dans son premier ouvrage de philologie "La naissance de la tragédie"...Il critiquera par la suite le doute qu'émet la religion à l'égard de l'art, sensuel et donc digne de méfiance et de soupçon...La fascination de l'art a souvent provoqué la méfiance des autorités...Ainsi les qualificatifs d'"Entartete Kunst"(qualificatif des Nazis pour l'art des dadas et surréaliste), ou l'Ire vis à vis du Jazz, puis du Rock (Dirty Dancing) en sont les malheureuses illustrations. Il faut un corps voué au travail et non à l'exultation.
A la fin de la vidéo qui suit, extraite du film documentaire 'BENDA BILLILI" de Renaud BARRET & Florent de la TULLAYE, on peut voir un jeune enfant improviser une danse qui n'est pas sans rappeler la pose du Nataraja...un mouvement naturel, ce TANDAVA, danse de la béatitude?
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En Page 25 de cette revue, on peut lire quelques aphorismes du sculpteur A.Rodin sur la statue de Nataraja