• KATIA LÉGERET MANOCHHAYA AU MUSÉE GUIMET / ORGANISÉ / PARIS VIII SORBONNE ET CAPTÉ PAR TUK-TUK.TV

    KATIA LÉGERET MANOCHHAYA AU MUSÉE GUIMET / ORGANISÉ / PARIS VIII SORBONNE ET CAPTÉ PAR TUK-TUK.TV

    Dans le cadre de la Nuit européenne des musées,

    trois artistes réunis au Musée national des arts asiatiques (Guimet)

    se sont proposés d’interpréter quatre sculptures khmères du panthéon hindou

    avec le support de la musique carnatique de l'Inde du Sud et du théâtre dansé Bharata-Nâtyam.

    En effet, il existe un langage corporel commun et toujours vivant entre les acteurs danseurs indiens et cambodgiens.

    Ici, l’artiste française Katia Légeret-Manochhaya met en mouvement le récit suggéré par deux divinités présentées au mnaag :

    Vishnu  Hayagrivâ,  avec  sa  tête  de  cheval (derrière elle)  et  Uma (à sa droite)

    ; elle se propose de leur redonner bras et mains mutilés et de créer,avec l’appui de la musique carnatique, une émotion particulière pour approcher ces œuvres de manière sensible.

    « LA MUSIQUE CARNATIQUE: REPORTAGE PAR SPICY MOTIONSUBTILITÉS DE LA MUSIQUE CARNATIQUE: GAMAKA, SVARA, MOTIFS AND RAGA INDENTITY...EXPLAINED BY T.M. KRISHNA »
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It